St-James, Swan Beauregard

Moi c'est Swan Beauregard St-James, mais tout le monde m'appelle Swanee. Cela fait vingt-et-un printemps que je suis né, je me rappelle c'était un 02 février pluvieux dans l'hôpital de cupidfields . Pour éviter de zapper devant la télé toute la journée, j' étudie l'astronomie, pour qui sait, en faire un jour mon métier et on va dire que ça me conviens. Je suis actuellement séparé depuis deux long mois et je le vis (relativement) bien. Du coup, je fais partie du groupe je suis séparé. On dit souvent de moi que je suis patient, courageux, enjoué mais aussi susceptible, rêveur, sarcastique. Mon passe temps préféré ? C'est assez simple: l'astronomie, la littérature et les jeux vidéo, à mes heures perdues. Je suis à Cupidfileds depuis toujours et j'avoue que dieu seul sait combien j'aime cet endroit. Si un jour la vie me porte vers de nouveau horizon je compte revenir ici, y mourir. Mon niveau de romantisme est d'environ quatre-vingt sur cent. On me dit souvent que je ressemble à Matthew Lewis, vous ne trouvez pas ?

→ une petite anecdote à savoir.
→ une petite anecdote à savoir.
→ une petite anecdote à savoir.
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Spoiler:

Le soleil se faufilée sous l'horizon, commençant à disparaitre. Swan glissât doucement sa cigarette entre ses lèvres et y approchât un briquet en argent gravé de ses initiales. Celle-ci allumée il se laissa envahir par la sensation bienfaisante de la nicotine qui commençait à se rependre dans son organisme avant de laisser échapper un nuage translucide de fumée. Appuyer au rebord extérieure d'une fenêtre il attendait que sa meilleure amie, avec avantage, daigne faire son apparition. Âgée de dix-huit ans il était en dernière année au Lycée et entretenait depuis cinq mois des relations sexuels plus que fréquente avec elle. « Ça n'implique pas de sentiment... » avait-elle soufflée la première fois, le désarment. Il avait pourtant accepté, cachant ce qu'il ressentait derrière des sourires. Ce qu'il éprouvait pour elle était juste, trop fort pour un gamin comme lui. Il avait souvent l'impression de perdre pied, de ne plus rien contrôlé. Mais il avait par-dessus tout besoins d'être près d'elle. Il voulait profondément la rendre heureuse même si cela impliquait de lui mentir. Quand il fut sur le point d'allumer une seconde cigarette une paire de main fluette et agile lui dérobèrent le briquet des doigts et l'agitaient devant l'écume du vert de ses yeux. « Tu sais ce que je pense de ses cochonneries, n'est-ce pas ? » Murmura la voix avec des intonations aiguës typiquement féminines. Swan attrapa Megalynn, qui essayait de prendre la fuite avec l'objet de ses désirs et le lui extirpa en quelque geste malicieux avant de relâcher sa captive. « Hey ! Reprirent les intonations, vexée, tu ne vas pas me dire que je suis moins importante que ton stupide briquet. » Ajouta elle avant de le frapper sur le bras, ses cheveux roux volant dans la brise. Le jeune homme, cigarette allumée, ne put réprimer un sourire de posséder ses lèvres avant de les plaquer sur la joue de la jeunette bruyamment. « Qui sait ? » Murmurât-il, tout en lui prenant la main et la tirant derrière lui. « Alors, on va à cette foire, ou tu préfères nous mettre encore plus en retard. » Ils partirent donc, bercée, par le mélodieux son qu'offraient leurs rires. (uc)

Vous n'avez aucun nouveau message.

Cette phrase tournait en boucle dans sa tête, l'obsédant. La route était déserte, depuis maintenant bien des heures et le soleil avait comme à son habitude cédée sa place à l'obscurité. Cet ingrat disparaissait toujours quand l'on avait besoin d'y voir clair. Swan regardait, les prunelles vides, l'écran noir de son téléphone. Assis au bord d'un trottoir, les jambes allongées devant lui, la seule chose qui l'empêchait de sombrer dans la folie était un halo blafard que lui offrait le vieux lampadaire au-dessus de lui. La lumière se répercutait sur son appareil, jouant avec les ombres, lui concédant une distraction suffisante pour passer le temps. Ainsi installer sur le bas-côté il attendait. Il ignorait quoi exactement. La rédemption peut-être, ou toute autre chose dans le même genre. Mais qu'importait, il se devait d'attendre, il en était certain. Comme s'il savait que quelque chose arriverait. Ça ne pouvait pas en être autrement. Swan essayait, en vain, d'ignorer les lamentations continuent de son âme. Tous ses souvenirs se rabattaient en lui en vagues destructrice, le submergent. Il se noyait dans l'effluve des mots qu'ils avaient échangés dans la pénombre, des phrases qui maintenant avait disparus, qu'il ne pourrait plus jamais entendre. Megalynn lui manquait terriblement. Et le manque d'information le rendait très nerveux. Il avait juste envie d'entendre une dernière fois le son de sa voix, savoir comment elle allait, la revoir sourire. Cette situation le rendait fou. Mais c'était un des risques de leur relation, il le savait. Swan n'était pas un bon acteur, il ne l'avait jamais été. Il n'était certainement pas le type de personne capable de manipuler les autres. Donc, tôt ou tard, la jeune femme aurait découvert que ce qu'il ressentait pour elle aller bien au-delà d'une simple attirance physique. Au-delà même de leur amitié. Il s'était même étonnée du temps qu'elle avait pu prendre pour le comprendre. Swan aurait simplement voulu qu'elle tombe amoureuse de lui avant. (uc)

SOPHIA.
Merci beaucoup, il me faudra un lien !

SWANNIE
Bienvenue . Si tu as des questions harcele moi de mp

Pas touche Adelou . C'est MON mien .
Sinon au pire, je prends Hunter et Kenny

OHMYKAREN
jenesaispassij'arriveraisàdirenon
Merci belle rousse.